On appelle "risque de l'acheteur", ou risque de seconde espèce, noté β, le risque d'accepter un lot qui n'est pas conforme.
Bien entendu, les termes "risque de l'acheteur" et "risque du vendeur" ne doivent pas être pris strictement.
Aujourd'hui, un acheteur qui refuserait un lot pourtant correct court un risque important : devoir arrêter son site de production, perturber sa logistique, puiser dans son stock de sécurité, acheter un produit de remplacement plus cher, etc. De même un vendeur qui valide un lot non conforme se verra appliquer des pénalités et verra se dégrader son image de marque chez son client, verra sa cotation qualité diminuer, etc.